…ce mois de janvier, mois pendant lequel nous nous devons de souhaiter du merveilleux, du sensationnel, des montagnes de grands bonheurs et une multitude de bonnes nouvelles à toutes les personnes croisées ou rencontrées ici et là, la-bas où ailleurs et pour lesquelles nous n’avons pas toujours une approche naturelle et sincère…mais il faut le faire, le croire, et surtout le reproduire années après années… Ça va pas non?!
Et quoi encore???
Ça me gave grave, (le « gavegrave » est un état psychique de plus en plus courant dans cette société qui évolue pourtant chaque jour mais pas forcément dans le sens que nous souhaiterions). C’est pourquoi depuis quelques temps, je diffuse ces bons vœux le plus naturellement et aussi sincèrement qu’il m’est donné de le croire et de le faire.
Je l’ai fait, j’ai été ravi d’échanger ces belles et bonnes paroles, ces mots simples et directs, ces mots posés sur des cartes choisies pour des vœux postés et envoyés aux quatre coins de France et de « l’avare » 🙂 , (qui, lui aussi, mérite quelques égards s’il exerce sa pingrerie de bonne foi 🙂 ).
Oui, cela me « gavegrave » mais bon, je l’ai fait, je l’assume. J’ai pris conscience de tout ça hier matin, bizarrement, simplement, lorsqu’une charmante femme blonde, que je croise de temps en temps, s’est avancée vers moi en souriant et en prononçant les mots magiques, cette formule banale dans certains cas et là, j’ai bien aimé. Ce qui fait que j’écris ce billet aujourd’hui pour dénoncer les cas de « nous devons souhaiter en cette période… » plutôt que, en regardant l’autre dans les yeux ou appuyer avec douceur sur la mine du crayon qui habille la carte du moment, je te…je vous… souhaite du bonheur et de la santé.
Voilà pour aujourd’hui…après une nuit blanche, je ne tiens pas à passer un jour noir…alors voici le pourquoi en quelques mots
Bon, si j’ai oublié des gens que j’aime, je les inclus bien volontiers dans ces vœux tardifs mais réfléchis… Et….
Joyeuses Pâques….car je ne tiens pas à être en retard une nouvelle fois!