Il touche à sa fin…


…ce mois de janvier, mois pendant lequel nous nous devons de souhaiter du merveilleux, du sensationnel, des montagnes de grands bonheurs et une multitude de bonnes nouvelles à toutes les personnes croisées ou rencontrées ici et là, la-bas où ailleurs et pour lesquelles nous n’avons pas toujours une approche naturelle et sincère…mais il faut le faire, le croire, et surtout le reproduire années après années… Ça va pas non?!

Et quoi encore???

Ça me gave grave, (le « gavegrave » est un état psychique de plus en plus courant dans cette société qui évolue pourtant chaque jour mais pas forcément dans le sens que nous souhaiterions). C’est pourquoi depuis quelques temps, je diffuse ces bons vœux le plus naturellement et aussi sincèrement qu’il m’est donné de le croire et de le faire.

Je l’ai fait, j’ai été ravi d’échanger ces belles et bonnes paroles, ces mots simples et directs, ces mots posés sur des cartes choisies pour des vœux postés et envoyés aux quatre coins de France et de « l’avare » 🙂 , (qui, lui aussi, mérite quelques égards s’il exerce sa pingrerie de bonne foi 🙂  ).

Oui, cela me « gavegrave » mais bon, je l’ai fait, je l’assume. J’ai pris conscience de tout ça hier matin, bizarrement, simplement, lorsqu’une charmante femme blonde, que je croise de temps en temps,  s’est avancée vers moi en souriant et en prononçant les mots magiques, cette formule banale dans certains cas et là, j’ai bien aimé. Ce qui fait que j’écris ce billet aujourd’hui pour dénoncer les cas de « nous devons souhaiter en cette période… » plutôt que, en regardant l’autre dans les yeux ou appuyer avec douceur sur la mine du crayon qui habille la carte du moment, je te…je vous… souhaite du bonheur et de la santé.

Voilà pour aujourd’hui…après une nuit blanche, je ne tiens pas à passer un jour noir…alors voici le pourquoi en quelques mots

Bon, si j’ai oublié des gens que j’aime, je les inclus bien volontiers dans ces vœux tardifs mais réfléchis… Et….

Joyeuses Pâques….car je ne tiens pas à être en retard une nouvelle fois!

Citations de Pâques…


« Est-ce que la maman d’un œuf de Pâques c’est une poule en chocolat ? »

Parole d’enfants

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oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo

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Parole d’adultes

Le lundi de Pâques, 1er avril 2024, est déplacé au mardi 2 avril …

Pourquoi ça?

PARCE QUE !!!!

oooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooo

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Citations du moment;

« Celui qui doit être pendu à Pâques trouve le carème bien court… »

« Pâques logtemps désirées. Sont en un jour passées »

« Quand on mange au chaud le gâteau (de Noël). On mange les œufs (de Pâques) derrière le fourneau »

Et l’éternel;

« Noël au balcon, Pâques au tison »

….. »Laissez votre lumière briller devant les autres »…..

…….Bon, ça c’est fait… 🙂

Cinq fruits et légumes……


…par jour, pour ne pas « sucrer les fraises » prématurément!

Dans ce qui suit, pas de légumes cependant, juste les fruits dans une partie du titre de ce billet.

J’ai sucré ce matin, modérément, délicatement, amoureusement, cet adorable mélange de saveurs.

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Des fruits qui composent le cru 2015 de cette préparation traditionnelle qui fait la joie des convives à l’ouverture du bocal.

Si le contenant se nomme « Le Parfait« , ce n’est peut être pas pour rien!

Alors voici « Le Parfait, cru 2015 » avec ses petites baies de saisons différentes, de régions diverses aussi et heureuses de baigner dans un élixir de vie… de mon pays!

 

A consommer avec obstination…

🙂

 

Bugnes à bugnes…


Les bugnes, appelées aussi merveilles dans le Sud-Ouest et en Vallée d’Aoste, ou encore beignets de carnaval sont originellement une spécialité culinaire du duché de Savoie, qui a fini par s’étendre jusqu’au centre-est de la France (qu’on retrouve principalement dans la zone de locution de l’arpitan, notamment Lyon, le Dauphiné, la Vallée d’Aoste, la Vallée du Rhône, Saint-Etienne et en Franche-Comté. Il s’agit d’une petite pâtisserie de la famille des Beignets.

Comptine:

Mardi Gras, ne t’en vas pas, y’a des bugnes, y’a des bugnes,

Mardi Gras, ne t’en vas pas, y’a des bugnes, t’en auras pas.

Dans le Larousse de l’Argot et Français Populaire, on note que le mot bugne désigne au sens figuré : « une mandale, un coup de boule dans la tronche, un coup droit dans les « artiches« . Le glissement de sens est sans doute lié au côté étouffe-chrétien du gâteau d’origine. Par extension, le mot peut désigner également une bosse à la tête (forme du gâteau) ou s’employer transitivement dans des expressions du type « bugner sa bagnole » (lui faire une bosse).

Tu vois pas ce que je veux dire?!

Illustration:


images-TFEt là, c’est plus clair????

Pendant que les tontons ci-dessus préparent les toasts, voici la recette des bugnes ou beignets de carnaval ci dessous:

Ingrédients / pour 6 personnes

Réalisation

  • Difficulté – Facile
  • Préparation: 20 mn
  • Cuisson: 20 mn
  • Temps Total: 40 mn
  • PRÉPARATION

    1 – Mélanger la farine, la maïzena, les sucres et le sel.
    Ajouter les œufs un à un, puis le beurre ramolli et le rhum.
    2 –  Mains farinées, pétrir en une pâte épaisse, en ajoutant la levure et le zeste de citron.
    Ne pas travailler trop longtemps.
    3 –  Sur une planche bien farinée, étaler la pâte au rouleau en une mince épaisseur.
    Découper des formes diverses : carrés, ronds, losanges, étoiles, tresses, rubans, etc.
    4 –  Faire cuire les beignets à friture chaude en les plongeant un à un.
    Les retourner pour les faire dorer de chaque côté. Egoutter sur du papier absorbant et saupoudrer de sucre glace.
    5 –  Ces beignets se consomment aussi bien chauds que froids.

Il arrive…


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…demain ils fêteront Saint Aspirine!

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Le huit septembre 1951, un arrêté paru au Journal officiel dispose que les vins d’appellation d’origine ne peuvent être vendus qu’à partir du quinze décembre. Cependant, suite aux réclamations des syndicats viticoles, une note du treize décembre 1951 précise « dans quelles conditions certains vins peuvent être commercialisés dès maintenant sans attendre le déblocage du 15 décembre ». C’est cette note qui de fait a créé l’appellation « beaujolais nouveau ».

Pendant les quinze années suivantes, la date fut variable, et ce n’est qu’à partir de 1967 qu’elle fut fixée au 15 novembre jusqu’en 1985, année lors de laquelle elle fut fixée au troisième jeudi de novembre, d’une part pour des raisons de calendrier, car il tombait trop près du jour férié du 11 novembre (anniversaire de l’armistice), d’autre part pour des raisons pratiques, car il arrivait que cela tombe un week-end.

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😉   Hips à tous

Au fond du placard…


…ce matin, avant l’heure légale, j’ai trouvé ça…

 
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Je ne dirai pas qu’elles datent du temps du « Mexicain » mais j’avoue que

(non non en fait, jamais je n’avouerai, chuis pas une balance !!!)

*C’est du bizarre!

Je pense qu’il faut certains diplômes pour la manipulation,

au moins un savoir-faire car dans ce domaine les diplômes s’acquièrent sur le tas…

(sous le tas, il y a les restes des « recalés »)

😉

*Je corrige: (la correction, ça m’connait! 😉 )

C’est du brutal

images-TFOuf, j’ai eu chaud!

 

Tu parles d’un œuf…!


Pâques approche, et je souhaite vous faire partager ces récits que j’affectionne sur l’origine des choses, des événements…

Symbole de vie et de renaissance le plus universel et le plus vieux, l’œuf est associé à de nombreux rituels.

L'OEUF

Avant le christianisme.

Les Égyptiens, les Perses, les Chinois avaient pour habitude de teindre des œufs et de les offrir à leurs proches au printemps pour symboliser le renouveau de la vie, que cela coïncide ou non avec une fête religieuse.

Eu Ukraine également, dès la Préhistoire dit-on, l’acte de décorer les œufs était rituellement associé à la venue du printemps.

Mais pourquoi des œufs à Pâques?

Je préfère les versions précédente à celle qui suit, mais bon!

Dans le monde chrétien, l’œuf berceau de la vie, évoque la résurrection du Christ. Mais la tradition de donner des œufs au moment de Pâques a une explication beaucoup plus réaliste: l’Eglise ayant interdit la consommation d’œufs durant le carême, soit quarante jours avant Pâques, il fallait bien utiliser la grande quantité d’œufs qui résultait de cette période de jeûne? Car les poules, sourdes au mots d’ordre de l’Eglise (et je les comprends bien), continuaient de pondre!

Ceux qui possédaient un vaste poulailler devaient en donner pour qu’ils ne se perdent pas. Il devint habituel d’offrir aux voisins, à la famille, aux amis, un panier d’œufs que l’on prenait soin de décorer.

Oeuf ficieusement ou ficiellement, voilà un brin d’histoire à raconter aux enfants qui, eux, les préfèrent en chocolat bien évidemment 🙂