Gardes-moi une place sur ta branche…


Ta nouvelle liberté m'emprisonne à jamais...Mais va mon ami...

Te voilà parti, si brutalement en ce dimanche matin, toi qui m’accompagnais depuis que nous avons appris à marcher. Comment vais-je faire sans toi… comment allons-nous tous faire sans toi???

Tu nous laisses sans réponse, tu feras comme tu avais l’habitude de faire…c’est à dire « comme tu veux », nous nous en accommoderons mais avec une grande tristesse…

Salut mon ami…mon frére…mon Dédé…